L'histoire démarre lors d'un débat organisé à l'Assemblée Nationale à l'initiative de Croissance Plus où Olivier Goy, Vice-Président de France Fintech, se retrouve à débattre face à deux députés Christophe Caresche (PS) et Olivier Carré (Républicain) de la fiscalité sur le crowdlending.
Le duo, membre de la commission des finances, réalise qu'il est impératif d'adapter notre fiscalité au développement du financement participatif de prêt. Ils rédigent dans la foulée deux amendements afin que les particuliers prêteurs puissent imputer sur les intérêts perçus la perte en capital subie en cas de non remboursement de ces prêts.
Le but : inciter les particuliers à s'engager sur la voie du financement des PME.
L'idée fait son chemin et le gouvernement propose un nouvel amendement, complémentaire qui est adopté à l'Assemblée Nationale le 1er décembre.
Un bel exemple de jeu collectif après des mois d'évangélisation de nombreuses plateformes de prêt de la place pour obtenir une fiscalité équitable.
Belle histoire, non ? On s'en réjouit et on l'écrit d'ailleurs ici.
|